Le papillon palmivore attaque de nombreux palmiers
Le papillon palmivore à Toulouse, ou Paysandisia archon, est un redoutable ravageur de palmiers qui infeste tout le sud de la France. Notamment chez nous en Occitanie et aussi en Nouvelle Aquitaine.
Nos méthodes biologiques de traitement
JJBIO peut vous aider notamment sur ce type d’attaque du papillon Palmivore à Toulouse. Une première vidéo publiée le 23 octobre 2024 sur notre chaine You tube présente comment nous intervenons sur les palmiers infestés. Pour cela nous respectons la lutte bio intégré par destruction mécanique et utilisation des nématodes. Par ailleurs, nous avons publié une seconde vidéo (short) complémentaire pour montrer comment nettoyer un Phoenix des Canaries infesté..
Mais qui est responsable des dégâts ?
Dans le cycle de vie du papillon, c’est la larve qui est responsable des dégâts. De couleur blanche, elle peut atteindre 8 cm de long et 1 cm de diamètre. Elle se nourrit des tissus internes du palmier, creusant des galeries dans le stipe et la base des palmes. Le cycle de vie complet peut durer un à deux ans.
Regardez bien de près vos palmiers du printemps à l’automne, passez-y du temps régulièrement !
Symptômes et dégâts
Arrivée à sa fin de cycle de chenille, la larve se dirige vers la périphérie du tronc (là où se trouvent beaucoup de fibres) et forme son cocon fibreux afin d’effectuer sa nymphose. Au bout de 2 à 3 semaines, un nouveau papillon en sortira. De plus, les nymphes sont alors souvent visibles au sein des fibres du haut du tronc. Alors, les dégâts causés par les chenilles n’apparaissent que plusieurs mois après l’infestation. Tout d ’abord, vous verrez des trous, la base des palmes sont perforées. Puis à l’aide d’une tige métallique, en fouillant entre les bases des palmes dans les amas fibreux ou d’exuvies (enveloppes de chrysalides)
En résumé
N’hésitez pas à nous contacter pour toutes questions concernant les soins de vos arbres et plantes. Nos conseils sont gratuits. Nous pouvons également nous déplacer pour les attaques particulières. Pour cela nous avons le soutien d’un docteur en phytopathologie.